Riad fez Partenaires riad Fes Ryad fez Appartements La ville de Fès Agences Destinations Temoignage fes Maroc Studio 2M Fez imperial Agadir History Fez Environment Fez Lille Oujda Nador Plomberie FES immobilier Investir Maroc Partenaire Immo Actualités Hotel Fez Invest au Maroc
Liens
Le beau Maroc Location riad fes - Vente Riad Maroc - Location appartement fes - Location appartement Maroc - Vente appartement fes - Vente riad Maroc - Gestion immobilier maroc - Fes Maroc - Agence immobiliere FES Mille deux cents kilomètres après Fès, on arrive à Marrakech, ville légendaire qui n’a pas volé sa réputation. À côté de Fès, c’est la ville la plus grandiose du Maroc, et aussi la plus visitée. Contrairement à ce que l’on pourrait croire étant donné le nombre de touristes qui l’envahissent, la ville n’est pas complètement défigurée par le tourisme de masse. Il existe de nombreux recoins très dépaysants et vivants à la fois, où tout n’est pas que mise en scène et camelote en toc. Marrakech, ce sont deux villes en une, la vieille (la Médina) et la nouvelle (le Guéliz). Il y a de nombreux hôtels dans la ville nouvelle, de même que des cafés et des boîtes de nuit pour les fêtards. Il y a également de nombreux restaurants et commerces, et lorsque l’on arrive de Ouarzazate et de Tineghir, on se croirait par moment déjà à Paris, tant la ville nouvelle est un endroit occidentalisé. Mais contrairement à Casablanca, son agitation reste sympathique et n’énerve pas. Mais ce qui est vraiment intéressant à Marrakech, c’est la Médina, la plus grande de toute l’Afrique du Nord. D’abord connue pour sa place centrale, Jemaa El Fna, qui peut servir de point de départ de nombreuses visites. C’est une grande place avec beaucoup d’agitation la journée, où l’on peut boire du jus d’orange pressée pour 3 dirhams (profitez-en !) et que l’on peut contempler depuis les terrasses des cafés environnants. Mais le véritable spectacle ne commence qu’avec la tombée de la nuit. Charmeurs de serpents, conteurs d’histoires, divers comédiens et prestidigitateurs se retrouvent au milieu d’une myriade d’échoppes installées en toute vitesse. On peut s’y asseoir sur un banc improvisé autour d’une montagne de légumes, de poissons, de boulettes de viande, de fruits et de brochettes dégoulinantes et prendre son repas du soir pour quelques dirhams, à la bonne franquette. Près de la place Jemaa El Fna, en direction de la ville nouvelle, on voit se dresser l’immense minaret de la Koutoubia qui date du 12e siècle. Cet emblème de la ville ne se visite pas, mais on peut l’admirer de l’extérieur. Depuis la place Jemaa El Fna on peut suivre les petites rues couvertes où commencent les souks, mais il est assez difficile de s’y repérer. Nous vous donnons donc toujours le même conseil ici : perdez-vous dans les souks et profitez de ce que vous verrez. En partant toujours de la place Jemaa El Fna mais dans le sens opposé, on arrive au Palais de la Bahia. Ce complexe s’étendant sur plusieurs hectares était la demeure du vizir à la fin du 19e siècle. Son propriétaire avait utilisé tout le savoir faire des artisans de l’époque pour construire un palais très riche avec des patios fleuris. Le Palais vaut certainement le coup d’être visité. L’allée d’entrée est bordée d’orangers et des dizaines de chats y vivent, imperturbables par les masses de visiteurs. En sortant du Palais, on peut continuer vers la Mellah (quartier juif), passer à côté du Palais Royal pour finir à la Mosquée de la Kasbah, attenante aux Tombeaux Saadiens. La porte d’entrée des tombeaux se situe après la mosquée, dans un mur – ce qui évite de passer par la mosquée pour les visiter. Heureusement pour les non musulmans… L’entrée est payante. On arrive alors dans un petit jardin calme et bien entretenu d’où l’on entre dans les différentes salles, richement décorées qui abritent les tombeaux. Détail pratique, il y a un WC dans les jardins. LES HOTELS Plus de temps on passe à Marrakech et mieux c’est. Nous avons passé deux nuits et c’était effectivement beaucoup trop court. Nous avons dormi à l’hôtel Ibis, avenue Hassan II, mais, comme son petit frère de Fès, l’hôtel était décevant par son niveau de service très médiocre, bien que légèrement supérieur à celui de Fès. Nous ne le recommanderons pas, il y a des quantités d’hôtels mieux situés et vous n’aurez que l’embarras du choix. Pensez à réserver à temps, cependant, pour vous éviter de chercher le soir même ce qui pourrait s’avérer infructueux. LES RESTOS Il y a abondance de restaurants de toute sorte dans la ville nouvelle. Si après des semaines passées dans le désert ou dans les montagnes à se nourrir uniquement de plats locaux vous mourez d’envie de manger un confit de canard bien français, il y a ce qu’il faut. Pour les amateurs de pizza, idem. Ceux qui préfèrent le couscous, idem encore. Si vous aimez bien manger « roots », allez prendre le repas du soir sur la place Jemaa El Fna, vous pourrez manger des assiettes pleines de choses appétissantes autour des petits stands regorgeant de mets variés, des plus tentants aux moins ragoûtants. En plus vous ferez connaissance avec d’autres routards ! C'EST DEJA FINI ! Pour quitter Marrakech, nous avons repris le train pour Casablanca et son aéroport. En prenant un cocktail sur la Corniche de Casa, nous sentions encore les bruits des médinas résonner dans nos oreilles mais la brise fraîche du dernier soir nous rappelait déjà que la fin des vacances était proche. Lorsque vous arrivez de Paris, Casablanca dépayse et vous prépare au choc culturel que vous allez vivre à Fès, à Tineghir et à Marrakech. Mais quand vous repartez, et qu’après deux semaines passées à tourner dans les villes et les campagnes marocaines, vous revenez à Casablanca, vous vous croyez déjà à moitié rentrés en France. C’est alors que vous ne vous doutez pas que vous allez vivre un deuxième choc culturel, le vrai, à Paris ! Vive les vacances !
Location riad fes - Vente Riad Maroc - Location appartement fes - Location appartement Maroc - Vente appartement fes - Vente riad Maroc - Gestion immobilier maroc - Fes Maroc - Agence immobiliere FES Mille deux cents kilomètres après Fès, on arrive à Marrakech, ville légendaire qui n’a pas volé sa réputation. À côté de Fès, c’est la ville la plus grandiose du Maroc, et aussi la plus visitée. Contrairement à ce que l’on pourrait croire étant donné le nombre de touristes qui l’envahissent, la ville n’est pas complètement défigurée par le tourisme de masse. Il existe de nombreux recoins très dépaysants et vivants à la fois, où tout n’est pas que mise en scène et camelote en toc. Marrakech, ce sont deux villes en une, la vieille (la Médina) et la nouvelle (le Guéliz). Il y a de nombreux hôtels dans la ville nouvelle, de même que des cafés et des boîtes de nuit pour les fêtards. Il y a également de nombreux restaurants et commerces, et lorsque l’on arrive de Ouarzazate et de Tineghir, on se croirait par moment déjà à Paris, tant la ville nouvelle est un endroit occidentalisé. Mais contrairement à Casablanca, son agitation reste sympathique et n’énerve pas. Mais ce qui est vraiment intéressant à Marrakech, c’est la Médina, la plus grande de toute l’Afrique du Nord. D’abord connue pour sa place centrale, Jemaa El Fna, qui peut servir de point de départ de nombreuses visites. C’est une grande place avec beaucoup d’agitation la journée, où l’on peut boire du jus d’orange pressée pour 3 dirhams (profitez-en !) et que l’on peut contempler depuis les terrasses des cafés environnants. Mais le véritable spectacle ne commence qu’avec la tombée de la nuit. Charmeurs de serpents, conteurs d’histoires, divers comédiens et prestidigitateurs se retrouvent au milieu d’une myriade d’échoppes installées en toute vitesse. On peut s’y asseoir sur un banc improvisé autour d’une montagne de légumes, de poissons, de boulettes de viande, de fruits et de brochettes dégoulinantes et prendre son repas du soir pour quelques dirhams, à la bonne franquette. Près de la place Jemaa El Fna, en direction de la ville nouvelle, on voit se dresser l’immense minaret de la Koutoubia qui date du 12e siècle. Cet emblème de la ville ne se visite pas, mais on peut l’admirer de l’extérieur. Depuis la place Jemaa El Fna on peut suivre les petites rues couvertes où commencent les souks, mais il est assez difficile de s’y repérer. Nous vous donnons donc toujours le même conseil ici : perdez-vous dans les souks et profitez de ce que vous verrez. En partant toujours de la place Jemaa El Fna mais dans le sens opposé, on arrive au Palais de la Bahia. Ce complexe s’étendant sur plusieurs hectares était la demeure du vizir à la fin du 19e siècle. Son propriétaire avait utilisé tout le savoir faire des artisans de l’époque pour construire un palais très riche avec des patios fleuris. Le Palais vaut certainement le coup d’être visité. L’allée d’entrée est bordée d’orangers et des dizaines de chats y vivent, imperturbables par les masses de visiteurs. En sortant du Palais, on peut continuer vers la Mellah (quartier juif), passer à côté du Palais Royal pour finir à la Mosquée de la Kasbah, attenante aux Tombeaux Saadiens. La porte d’entrée des tombeaux se situe après la mosquée, dans un mur – ce qui évite de passer par la mosquée pour les visiter. Heureusement pour les non musulmans… L’entrée est payante. On arrive alors dans un petit jardin calme et bien entretenu d’où l’on entre dans les différentes salles, richement décorées qui abritent les tombeaux. Détail pratique, il y a un WC dans les jardins. LES HOTELS Plus de temps on passe à Marrakech et mieux c’est. Nous avons passé deux nuits et c’était effectivement beaucoup trop court. Nous avons dormi à l’hôtel Ibis, avenue Hassan II, mais, comme son petit frère de Fès, l’hôtel était décevant par son niveau de service très médiocre, bien que légèrement supérieur à celui de Fès. Nous ne le recommanderons pas, il y a des quantités d’hôtels mieux situés et vous n’aurez que l’embarras du choix. Pensez à réserver à temps, cependant, pour vous éviter de chercher le soir même ce qui pourrait s’avérer infructueux. LES RESTOS Il y a abondance de restaurants de toute sorte dans la ville nouvelle. Si après des semaines passées dans le désert ou dans les montagnes à se nourrir uniquement de plats locaux vous mourez d’envie de manger un confit de canard bien français, il y a ce qu’il faut. Pour les amateurs de pizza, idem. Ceux qui préfèrent le couscous, idem encore. Si vous aimez bien manger « roots », allez prendre le repas du soir sur la place Jemaa El Fna, vous pourrez manger des assiettes pleines de choses appétissantes autour des petits stands regorgeant de mets variés, des plus tentants aux moins ragoûtants. En plus vous ferez connaissance avec d’autres routards ! C'EST DEJA FINI ! Pour quitter Marrakech, nous avons repris le train pour Casablanca et son aéroport. En prenant un cocktail sur la Corniche de Casa, nous sentions encore les bruits des médinas résonner dans nos oreilles mais la brise fraîche du dernier soir nous rappelait déjà que la fin des vacances était proche. Lorsque vous arrivez de Paris, Casablanca dépayse et vous prépare au choc culturel que vous allez vivre à Fès, à Tineghir et à Marrakech. Mais quand vous repartez, et qu’après deux semaines passées à tourner dans les villes et les campagnes marocaines, vous revenez à Casablanca, vous vous croyez déjà à moitié rentrés en France. C’est alors que vous ne vous doutez pas que vous allez vivre un deuxième choc culturel, le vrai, à Paris ! Vive les vacances !
